journal du libertinage

Lundi 24 juin 1 24 /06 /Juin 21:00

/ Le thème de la soirée tu vérifieras.

En fonction des jours, les clubs sont ouverts soit aux couples uniquement ou aux
couples et hommes seuls.

2/ Sur la politique tarifaire tu te renseigneras.

Les prix d’entrée varient d’un club à l’autre et d’une soirée à l’autre, dans un même club.

3/ Tes sous vêtements tu soigneras.

Je ne saurai que trop vous conseiller de privilégier les bas aux collants et de
les assortir au soutien gorge et string (ou de choisir le cas échéant des couleurs harmonieuses).

4/ Une tenue sexy et qui te correspond tu choisiras.

Choisir une tenue sexy coule de source. Se sentir est à l’aise dans sa tenue, qui correspond à son style et son envie, est indispensable. Pas de surenchère dans sa tenue dans un esprit de compétition : si tu es gênée par ta tenue (tenue trop transparente ou trop moulante à ton goût), tu ne seras pas sexy. Provocante ou coquine, il faut être soi tout simplement.

5/ Une tenue pratique tu préféreras.

Partir en excursion en club libertin signifie potentiellement se déshabiller à un moment de la soirée. Choisir une tenue facile à enlever et à enfiler est donc un détail qui a son importance.

6/ De chaussures confortables tu t’équiperas.

Prévoir une paire de ballerines, en plus des chaussures à hauts talons, pour celles qui
comme moi aiment prendre de la hauteur mais ont vite mal aux pieds et apprécient d’être à plat. Pour tout avouer, j’ai pris le parti de me déplacer en ballerines et de n’enfiler mes talons hauts qu’à l’approche immédiate du club pour ménager mes pieds avant d’onduler sur le dancefloor.

7/ Pour un maquillage adapté tu opteras.

Souligner le regard avec un maquillage waterproof et suffisamment soutenu pour ressortir dans des ambiances tamisées et résister à des petits coups de chaleur…

8/ Mettre en valeur ta bouche tu n’oublieras pas.

S’il y a bien un endroit où l’on peut oser le rouge à lèvres rouge vif, c’est bien
dans un club libertin, non ?

9/ Pour l’hygiène et la propreté tu ne t’inquiéteras pas.

Les clubs libertins sont à cheval sur l’hygiène, sont équipés de douches et mettent
à disposition serviettes propres, déodorants et autres produits de toilette.

10/ Aux codes du libertinage tu penseras

Les libertins sont avant tout des personnes respectueuses des désirs et limites des
autres. Une invitation à coquiner sera donc faite de façon simple et subtile (une main qui en effleure une autre, un regard soutenu), le libertin n’insistant pas s’il n’y a pas de réponse ou de réaction. Dans le feu de l’action, le libertin aime regarder mais ne participe pas s’il n’y a pas été invité. Il peut se laisser aller à des caresses, mais si celles-ci gênent, il suffit de repousser gentiment sa main. La liberté des uns finit là où commence celle des autres.

Par misscoquine35 - Publié dans : journal du libertinage
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Lundi 24 juin 1 24 /06 /Juin 19:52
Par misscoquine35 - Publié dans : journal du libertinage
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Lundi 6 mai 1 06 /05 /Mai 12:41

Les pratiques du libertinage

Le libertinage se pratique entre deux couples, qu’ils soient mariés ou non.

Différents « types » d’échangisme peuvent être évoqués.
- Le mari d’un couple caresse la femme de l’autre couple et inversement, sans qu’il y ait pénétration. Les échanges sont doux et sensuels. Les deux couples sont dans la même pièce et peuvent ainsi assouvir des envies d’exhibition. La situation réveille les sens et pimente une relation un peu endormie. Il n’est pas rare que le désir pousse ensuite les partenaires « légitimes » à faire l’amour.
- Les deux couples font l’amour les uns avec les autres dans la même pièce, voire dans le même lit. Exhibitions, performance, toutes les combinaisons entre les participants sont possibles. C’est également l’occasion d’expérimenter un penchant pour la bisexualité. L’escapade coquine se termine souvent dans le lit conjugal entre les deux protagonistes.
- Les deux couples échangent leur partenaire et font l’amour dans des endroits séparés. Ce cas de figure est plus rare car le désir de regarder ou d’être vu est absent, or c’est l’une des motivations fortes du libertinage.
Les adeptes du libertinage
Le libertinage se pratique toujours entre couples. Les amoureux de liberté ou ceux qui aiment dépasser les limites trop conventionnelles se laissent volontiers tenter par ces échanges érotiques. Le libertinage répond surtout à un goût du changement, une curiosité exacerbée ou encore la volonté de voir un fantasme se réaliser. Le plaisir de regarder et d’être vu est entier. Pratiquer l’échangisme suppose une attitude détendue, les partenaires doivent être en confiance et à l’aise. Les membres du couple ne doivent accepter que ce qu’ils ont envie de faire ou d’essayer. Le désir et l’ascension vers le plaisir prédominent.
Les règles du libertinage
Le mot d’ordre : LIBERTE ! Mais pour profiter pleinement de cette liberté de l’échangisme, il faut bien en connaître les règles du jeu.
Les 4 partenaires doivent donner leur consentement total. Il n’est pas question de se forcer, échanger son partenaire avec d’autres couples se fait par envie. Chacun a le choix d’accepter ou non certaines pratiques. Il est tout à fait possible de refuser des propositions, du moment que ce refus est présenté avec tact et diplomatie. La politesse prime en effet dans les relations libertines. Pas question de sauter sur le premier couple qui passe.
En ce qui concerne les atours, la lingerie féminine délicate est fortement appréciée. Si vous souhaitez apporter des accessoires... vous êtes libres ! Gardez à l’esprit que les libertins ne transigent pas sur l’hygiène. On respecte ainsi ses partenaires de jeu en prenant soin de soi.
La protection est bien entendu indispensable, il est donc important de se prémunir de (plusieurs) préservatifs.
Quel lieu et quelle fréquence pour le libertinage ?
En club : tout y est prévu et les lieux sont généralement parfaitement tenus. Une mauvaise réputation pouvant rapidement entraîner la fermeture du lieu, les propriétaires sont très exigeants. Il est tout à fait possible de s’y rendre, et de ne pas participer (appréhension, absence d’envie). Toutefois, il est rare de ne pas craquer. Pas de panique pour les débutants, les adeptes se feront un plaisir d’engager la conversation et de vous initier.

A la maison :
vous recevez un couple contacté au préalable. Mettez-le en confiance et présentez-lui les lieux, accueillez-les avec quelques douceurs à grignoter et des boissons. Si vous êtes invité, n’hésitez pas à apporter des fleurs. Le tout est de se sentir accueilli, épanoui et à l’aise.
Il n’y a pas de fréquence pour le libertinage, c’est selon l’envie du moment. Ce peut être pour essayer une fois, une tradition annuelle qui ravive le désir, ou tout le temps pour ceux qui n’arrivent plus à se contenter d’une relation avec un seul partenaire.

Attention toutefois, le libertinage est difficile à supporter pour les caractères jaloux et possessifs. Pour ces messieurs, il n’est également pas toujours facile d’accepter qu’un homme ait de meilleurs performances et puisse donner (plus) de plaisir à sa femme.

Par misscoquine35 - Publié dans : journal du libertinage
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Lundi 6 mai 1 06 /05 /Mai 12:35
Par misscoquine35 - Publié dans : journal du libertinage
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Lundi 6 mai 1 06 /05 /Mai 12:31

 

Chez les libertins, on vient de tous milieux mais on ne se mélange pasAugmenter la taille du texte

Dans l’imaginaire collectif, le mot « libertin » est très souvent associé à une image aristo’ ou bourgeoise. Une idée qui vient des boudoirs et des salons français du XVIIIe siècle, où les aristocrates expérimentaient leur pouvoir de séduction.

Cette pratique codifiée était réservée aux gens de cour, comme l’explique l’historienne Arlette Farge. Dans son dernier livre, « Un ruban et des larmes », elle retrace le procès en adultère d’une femme d’artisan, accusée à tort de mœurs libertines :

« Bien sûr, on pratique aussi l’adultère au sein des classes populaires, mais le vrai libertinage reste l’apanage des grands aristocrates qui vivent à la cour, à commencer par le roi qui a de nombreuses maîtresses.

C’est un art, une esthétique de la séduction. Le libertin a recours à un langage spécifique, le “persiflage” : il poursuit celle qu’il désire avec une ironie constante. Son but est de subjuguer la femme, c’est de là qu’il tire sa jouissance. »

La figure mythique de cette philosophie, c’est le personnage de Valmont dans « Les Liaisons dangereuses » de Laclos.

« Après vous », « comme il vous plaira »

Depuis l’affaire DSK et celle du Carlton de Lille, le mot « libertinage » fait son come-back dans les médias. Fantasme collectif : un petit cercle politico-mondain irait s’encanailler dans des soirées privées à 300 euros, ou des clubs « tendance » comme Les Chandelles à Paris.

L’établissement, rendu célèbre par l’animateur Thierry Ardisson, grand habitué des lieux, n’est fréquenté que par la crème de la crème. Un journaliste suisse a raconté le temple parisien :

« “Après vous.” “Je n’en ferai rien.” “Comme il vous plaira.” Des manières de salon accompagnent les rapports intimes dans cette cave du premier arrondissement. »

La démocratisation du libertinage

Aujourd’hui encore, le libertinage peine à se débarrasser de cette étiquette « bourge », même s’il s’est popularisé. Pierre Des Esseintes, auteur de « Osez le libertinage » aux éditions La Musardine, explique :

« Beaucoup gardent à l’esprit le passé très bourgeois de cette pratique. Dans les années 1930, les nantis parisiens se donnaient rendez-vous à l’auberge du Roi René pour partouzer dans les petites cabanes de derrière.

Le milieu libertin a vraiment basculé dans les années 1980, grâce au procès de Chris et Manu qui a fait jurisprudence. »

Chris et Manu, ce sont les patrons du premier club libertin parisien, ouvert en 1981. Après l’ouverture de leur second établissement, deux ans plus tard, ils sont condamnés à une semaine de prison, puis relaxés. Ils prouvent que leur club n’a rien d’une maison close, qu’il est fréquenté par des adultes consentants et non des mineurs ou des prostituées.

Des dizaines de clubs libertins leur emboîtent le pas, et pas seulement dans la capitale. Pierre Des Esseintes cite par exemple Le Bilitis, dans les Côtes d’Armor, connu pour son « ambiance festive » et sa clientèle « populaire et provinciale ».

Autant de libertins en milieu rural qu’urbain

Dans les chiffres, qu’observe-t-on ? Le libertinage se pratique partout, y compris dans les petites communes. Selon une enquête de l’Ifop [PDF] réalisée en juin 2010, on compte presque autant de libertins dans les communes rurales (8%) que dans l’agglomération parisienne (7%).

Aujourd’hui, libertinage rime avec pratiques sexuelles diverses, apprend-on dans « Le Dictionnaire sexuel » :

« Pratique sexuelle très en vogue à l’heure actuelle qui comprend l’échangisme, le mélangisme, le triolisme, etc. Les libertins se revendiquent d’un courant sexuel libre dans lequel ils s’adonnent, sans avoir à rendre de compte à qui que ce soit, à toutes les pratiques sexuelles non-condamnables par la loi. »

C’est surtout Internet qui a changé la donne. Alors qu’une soirée en club revient en moyenne à 50 euros pour deux, les sites et réseaux sociaux libertins permettent de faire des rencontres à moindre coût. Voire même gratuitement, comme sur Libertic.

Christophe Soret est consultant marketing pour NetEchangisme.com. Numéro un au sein de la communauté libertine, le site enregistre chaque jour 290 000 visites :

« Plus on montre les choses, plus on en parle, et plus ça intéresse monsieur et madame Tout Le Monde.

Si le libertinage n’intéressait que des bourgeois et des cadres sup’, on n’aurait pas autant d’inscriptions sur le site, ça c’est sûr. »

« Un phénomène de mode »

Selon une enquête interne menée en 2008, les employés (29%) sont plus nombreux sur NetEchangisme que les cadres (25%) :

« Le libertinage répond à un mouvement de fond de libération de la sexualité qui touche tous les milieux sociaux. Dans un club échangiste, il n’y a pas de différences de classes.

Tout le monde est habillé de la même manière, les hommes en costard, les femmes de manière sexy et provocante. Impossible de distinguer le patron de l’électricien. »

Auteur du « Guide de la France coquine » du Petit Futé, libertin depuis plus de trente ans, Didier Menduni se montre plutôt critique vis-à-vis de cette démocratisation :

« La télévision nous matraque de reportages sur le libertinage, mais c’est juste pour montrer des seins et des culs. Le libertinage, pour moi, ça reste une philosophie. Il n’y a qu’à relire les écrits du marquis de Sade.

Maintenant, c’est un phénomène de mode, au lieu de regarder un film porno le samedi soir, on sort en club pour mater en vrai. »

Mais si les libertins viennent de milieux différents, se mélangent-ils vraiment dans les clubs ? Didier Menduni estime que la plupart des clubs « sélectionnent » la clientèle afin de « préserver l’esprit libertin » :

« Certains hommes mariés qui viennent seuls en club pensent avoir payé un droit de baiser en entrant et ne respectent pas les autres. La tolérance et le respect de la femme, ce sont les règles dans notre milieu.

Ça m’est déjà arrivé, avec ma femme, alors que nous avions choisi un partenaire, d’en voir un autre qui essayait de se faufiler pour en profiter... »

Par misscoquine35 - Publié dans : journal du libertinage
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